6 janvier 2014
Il y a quelques semaines, en rentrant d’un Bayonne-Paris qui m’a fait arriver dans mon quartier vers 23 heures, rien à manger à la maison et de toute façon trop fatiguée pour cuisiner, j’étais affamée. J’ai contacté Nono afin qu’il m’indique une adresse dans le quartier et il m’a dit de prendre la rue Marcadet, de continuer sur la gauche et que je trouverai un petit resto italien, l’Angolò qui fait de la très bonne cuisine.
Confiante, je m’y suis rendue, il y avait encore du monde à table et ma déception fut grande lorsqu’ils m’ont annoncé que la cuisine était fermée. Dépitée, j’ai poursuivi mon chemin sur la rue Ramey et je suis tombée sur « La cantine du 18 ». L’ardoise située à l’extérieur proposait des mets alléchants mais il n’y avait personne à table. J’ai failli faire demi-tour lorsqu’une femme est sortie, me proposant une planche. Attristée, je lui ai dit que je rentrais de l’aéroport et que j’avais très faim et besoin de manger quelque chose de bon et chaud. Après quelques secondes de réflexion, elle m’a proposé d’entrer et m’a demandé si un hamburger- frites maison me conviendrait. J’ai accepté avec plaisir et je ne l’ai pas regretté. Non seulement l’accueil est des plus chaleureux mais la salle, composée de deux niveaux dont un en mezzanine, bénéficie d’une charmante décoration. On est à la fois dans le vintage et dans l‘industriel, le parisien et le glamour.
Que dire alors du plat qui m’a été servi ? Tout simplement le meilleur burger qui m’ait été donné de manger sur Paris : un pain maison, un steak haché énorme et parfaitement assaisonné. Les frites étaient tout aussi délicieuses et servies généreusement : croustillantes à l’extérieur, fondantes à l’intérieur. Légères…. Dans ce plat, j’ai senti tout l’amour et la générosité qui ont été mis dans sa préparation. J’ai tellement bien mangé que je n’ai pas eu de place pour le dessert. Je me suis promis d’y retourner en journée afin de goûter au moelleux au chocolat.
Ce que j’ai fait ce vendredi. Comme je devais à mon acolyte Nono un restaurant en contrepartie de menus travaux réalisés dans mon ancien appartement, j’ai été assez fière de lui faire découvrir cette adresse, à lui, qui est incollable sur le quartier. Lui qui connaissait ce lieu sous son ancienne forme, une épicerie pas très accueillante, il a été charmé à la fois par le lieu et par les personnes qui le font vivre. Une formule à 10 euros comprenant entrée + plat ou plat + dessert nous a été proposée mais j’ai tellement bien vendu mon burger à Nono que c’est ce que nous avons choisi et nous n’avons pas été déçus. Doublé gagnant avec le moelleux au chocolat avec cependant un petit bémol mais c’est juste parce que je suis bien dans mes habitudes : une boule de glace vanille aurait été préférable à la chantilly.
En tendant l’oreille, j’ai entendu plusieurs choses (un des avantages d’aller au resto en solo ^_~) :
- Au niveau inférieur doté d’un très beau parquet, des cours de salsa sont proposés tous les jeudis ;
- En été, des happy hours sont proposés avec des grignotages à partir d’1 euro ;
- Le restaurant est également privatisable, à partir de 600 euros.
Pour le détail, renseignez-vous directement auprès du restaurant ^_^
En bref, si vous avez envie d’une cuisine fraîche et faite maison, pour un moment à passer entre amis ou en famille, n’hésitez pas, c’est le lieu qu’il vous faut.
Combien ça coûte ?
Pour deux personnes, avec un pichet de vin rouge, j’ai payé 52,50 euros.
Comment s’y rendre ?
La cantine du 18
46 rue Ramey
75018 Paris
M° ligne 4 ou 12 Marcadet Poissonniers ou Jules Joffrin
Confiante, je m’y suis rendue, il y avait encore du monde à table et ma déception fut grande lorsqu’ils m’ont annoncé que la cuisine était fermée. Dépitée, j’ai poursuivi mon chemin sur la rue Ramey et je suis tombée sur « La cantine du 18 ». L’ardoise située à l’extérieur proposait des mets alléchants mais il n’y avait personne à table. J’ai failli faire demi-tour lorsqu’une femme est sortie, me proposant une planche. Attristée, je lui ai dit que je rentrais de l’aéroport et que j’avais très faim et besoin de manger quelque chose de bon et chaud. Après quelques secondes de réflexion, elle m’a proposé d’entrer et m’a demandé si un hamburger- frites maison me conviendrait. J’ai accepté avec plaisir et je ne l’ai pas regretté. Non seulement l’accueil est des plus chaleureux mais la salle, composée de deux niveaux dont un en mezzanine, bénéficie d’une charmante décoration. On est à la fois dans le vintage et dans l‘industriel, le parisien et le glamour.
Que dire alors du plat qui m’a été servi ? Tout simplement le meilleur burger qui m’ait été donné de manger sur Paris : un pain maison, un steak haché énorme et parfaitement assaisonné. Les frites étaient tout aussi délicieuses et servies généreusement : croustillantes à l’extérieur, fondantes à l’intérieur. Légères…. Dans ce plat, j’ai senti tout l’amour et la générosité qui ont été mis dans sa préparation. J’ai tellement bien mangé que je n’ai pas eu de place pour le dessert. Je me suis promis d’y retourner en journée afin de goûter au moelleux au chocolat.
Ce que j’ai fait ce vendredi. Comme je devais à mon acolyte Nono un restaurant en contrepartie de menus travaux réalisés dans mon ancien appartement, j’ai été assez fière de lui faire découvrir cette adresse, à lui, qui est incollable sur le quartier. Lui qui connaissait ce lieu sous son ancienne forme, une épicerie pas très accueillante, il a été charmé à la fois par le lieu et par les personnes qui le font vivre. Une formule à 10 euros comprenant entrée + plat ou plat + dessert nous a été proposée mais j’ai tellement bien vendu mon burger à Nono que c’est ce que nous avons choisi et nous n’avons pas été déçus. Doublé gagnant avec le moelleux au chocolat avec cependant un petit bémol mais c’est juste parce que je suis bien dans mes habitudes : une boule de glace vanille aurait été préférable à la chantilly.
En tendant l’oreille, j’ai entendu plusieurs choses (un des avantages d’aller au resto en solo ^_~) :
- Au niveau inférieur doté d’un très beau parquet, des cours de salsa sont proposés tous les jeudis ;
- En été, des happy hours sont proposés avec des grignotages à partir d’1 euro ;
- Le restaurant est également privatisable, à partir de 600 euros.
Pour le détail, renseignez-vous directement auprès du restaurant ^_^
En bref, si vous avez envie d’une cuisine fraîche et faite maison, pour un moment à passer entre amis ou en famille, n’hésitez pas, c’est le lieu qu’il vous faut.
Combien ça coûte ?
Pour deux personnes, avec un pichet de vin rouge, j’ai payé 52,50 euros.
Comment s’y rendre ?
La cantine du 18
46 rue Ramey
75018 Paris
M° ligne 4 ou 12 Marcadet Poissonniers ou Jules Joffrin
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